En 1995, un nouveau cryptide (un animal inconnu de la science) fait son entrée dans la littérature paranormale : El Chupacabra (littéralement « le suceur de chèvres »). Cette étrange créature ― parfois décrite comme une petite gargouille et parfois comme une espèce de canidé sans poils ― vampiriserait ses victimes sans se nourrir de leurs chairs. El Chupacabra tuerait uniquement pour le plaisir. Ses origines restent nébuleuses. Certains prétendent qu’il pourrait s’agir d’un être extraterrestre « abandonné » sur Terre (à l’image du pauvre E.T. du film de Steven Spielberg) ou plus inquiétant, d’une créature hybride issue de manipulations génétiques. Gare au Chupacabra !
En 1961, un couple d’Américains, Betty et Barney Hill, a raconté avoir été enlevé par des extraterrestres alors qu’il roulait dans les Montagnes blanches du New Hampshire. Les Hill n’étaient pas les premiers à tenir ce genre de discours, mais leur récit a fait sensation. Depuis, le phénomène des « enlèvements extraterrestres » ― les Rencontres rapprochées du 4e type ― est devenu l’un des thèmes incontournables du dossier des OVNIs. Faut-il accorder le moindre crédit à ces récits ? Où sont les preuves ? Ces témoins souffrent-ils tous d’un délire « moderne » ? Les enlèvements extraterrestres sont-ils l’expression sociale d’une certaine culture populaire ou les prémices d’une menace beaucoup plus inquiétante ?
Jésus de Nazareth est l’un des personnages les plus influents de l’histoire du monde. Pourtant, les informations historiques à son sujet restent anémiques. En effet, en dehors des Évangiles, il n’existe que très peu de sources laïques. Comment expliquer cette « discrétion » ? Que nous apprennent ces sources ? Si la grande majorité des historiens accepte la réalité d’un « Jésus historique », le portrait que les experts en font est assez éloigné des saintes Écritures. Quant aux reliques qui pourraient nous aider à résoudre l’énigme Jésus, la science exprime des doutes légitimes. De ces nombreux visages, lequel est vraiment celui de Jésus de Nazareth ?
Le 20 novembre 1989, à l’aube, des dizaines de résidants de l’agglomération de Sainte-Marie-de-Monnoir, en Montérégie, observent d’étranges lumières dans le ciel. Deux jours plus tard, une trace de 20 mètres de diamètre est découverte dans un champ du voisinage. Des analyses de sol et de végétaux vont révéler des taux d’azote et de chlorophylle anormalement élevés. On pourrait croire que la présence de ces lumières étranges a eu des effets inattendus sur l’environnement immédiat. L’histoire de «l’OVNI de Sainte-Marie-de-Monnoir» va se révéler un cas d’école pour les ufologues, spécialistes autoproclamés des OVNIs.