La revue de presse de Paul Arcand

À l'occasion de sa revue de presse, vendredi matin, Paul Arcand aborde le cas de François Legault et de la CAQ, alors qu'un dernier sondage Léger démontre qu'il n'a jamais été aussi impopulaire. «Hier, je voyais des commentaires de gens qui disent qu'il est en train de faire l'erreur de Justin Trudeau, qui s'est accroché jusqu'à la toute fin, qui n'a pas servi les intérêts de son parti, qu'il n'a pensé qu'à lui-même... question d'ego. Monsieur Legault devrait lever les feutres et permettre à quelqu'un de prendre sa place!» Il traite ainsi des coupures massives de 570 millions de dollars que souhaite imposer son gouvernement, à la dernière minute, «en camitini», en éducation. Paul Arcand détaille les inquiétudes des intervenants du milieu, alors que l'Éducation ne semble plus la première priorité du gouvernement de la CAQ et que les coupures brutales qui sont actuellement imposées impacteront principalement les élèves en difficulté. Il présente aussi deux témoignages de deux professionnelles qui démontrent à quel point ses coupures vont avoir des conséquences sur le système d'éducation public. Autres sujets traités: Insultes, menaces, accrochage, le procès de Gilbert Rozon dérape; Les banques commencent à imposer le travail au bureau au moins 4 jours par semaine; Walmart préfère nous vendre des fraises du Mexique et de la Californie.

À l'occasion de sa revue de presse, jeudi, Paul Arcand réagit aux restrictions budgétaires de 570 millions de dollars imposées par le gouvernement de François Legault en éducation.  Ces coupures vont directement affecter les services aux enfants. «Des directeurs, enseignants et parents m'écrivent. Ils sont inquiets, affirme Paul Arcand. Il y a comme un consensus. On trouve ça effrayant. De le faire à ce moment-ci de l'année, alors que les gens partent en vacances et que ça doit s'appliquer pour la prochaine rentrée, il y a quelque chose d'hypocrite et d'odieux de la part du gouvernement Legault et du ministre Bernard Drainville sur cette question.» «Je ne veux pas avoir l'air pessimiste pour la rentrée, mais ce n'est pas parce qu'on a donné de bons salaires aux profs que c'est une idée géniale de les dépouiller des moyens nécessaires et du soutien de professionnels pour aider des enfants qui sont de plus en plus à besoins particuliers.» Autres sujets abordés ⦁    Sondage: la CAQ s’effondre, libéraux et péquistes en face à face;⦁    Gilbert Rozon affirme qu’il n’est pas un violeur et qu’il est victime des rumeurs et des mensonges;⦁    Denis Villeneuve va réaliser le prochain James Bond.

À l'occasion de sa revue de presse, mercredi, Paul Arcand réagit au décès de son ami, l'auteur-compositeur-interprète québécois, Serge Fiori, à 73 ans. Le cofondateur du groupe mythique Harmonium a rendu l'âme mardi matin à sa résidence de Saint-Henri-de-Taillon au Lac St-Jean. «Il s'est éteint le jour de la fête nationale. C'est plus qu'une coïncidence, il y a quelque chose de symbolique de voir ce géant disparaître alors qu'on célèbre le Québec. Serge a été victime d'une crise cardiaque. Il faut dire qu'il était malade, sérieusement malade depuis plusieurs mois [...] Depuis hier, on écoute sa musique...» «C'était un gars qui ne faisait pas de compromis, un homme qui avait une ligne droite dans ses choix de carrière. Il a renoncé à des sommes d'argent importantes. Il aurait pu faire beaucoup, beaucoup de fric, mais pour des raisons de santé et de principes, il a dit non.» «J'étais, et je suis encore, un fan fini de Serge Fiori, d'Harmonium, de cette oeuvre musicale magistrale [...] Les mélodies, les paroles se sont inscrites dans notre mémoire collective...» Paul Arcand consacre ainsi une bonne partie de sa revue de presse au décès de ce monument de la musique québécoise et explique, au fil d'anecdotes, comment leurs chemins se sont croisés afin de «développer une une amitié improbable». Autres sujets abordés La vague de grande chaleur est terminée; Une paix fragile entre Israël et l’Iran; Danièle Sauvageau intronisée au Temple de la Renommée du hockey, mais pas Carey Price.

À l'occasion de sa revue de presse, lundi, Paul Arcand commente l'arrivée de la première vague de chaleur intense dans le grand Montréal et sur une partie du Québec. Avec le facteur humidex, le mercure pourrait atteindre 45 degrés, d'ici mercredi. Malgré la chaleur accablante, de nombreux écoliers de la grande région de Montréal vont tout de même prendre le chemin des classes en ce 23 juin, pour une journée où il n'y aura visiblement pas d'apprentissage. «C'est ridicule d'ouvrir les écoles...», affirme Paul Arcand Il réagit aussi à l'improvisation du ministre Bernard Drainville et aux commentaires de certains centres de services scolaires et du syndicat des enseignants, dans ce dossier. «Je vous le dis, je lisais ça et je me disais: "C'est comme la maison des fous."» Autres sujets abordés Écrasement d’un hélicoptère d’Air Médic sur la Côte-Nord: les recherches reprennent; Iran: Donald Trump pense que le moment est venu de se débarrasser du régime des ayatollahs; Augmentation du nombre de plaintes contre les chiens agressifs à Montréal.

À l'occasion de sa revue de presse, vendredi, Paul Arcand fait le point dans le dossier de la petite fille de LaSalle. Les autorités demandent maintenant au public de cesser de partager le nom et la photo de la fillette montréalaise, âgée de trois ans, qui a été retrouvée vivante en Ontario mercredi après trois jours de disparition. «C'est une enfant qui a besoin d'intimité, de discrétion et de disparaître de l'oeil public parce que c'est devenu comme un symbole, un miracle, explique Paul Arcand. Elle doit reprendre ses forces, passer du temps avec son père, avec les professionnels de la santé. Elle sera éventuellement rencontrée par les enquêteurs de façon très professionnelle.» «Elle est à l'hôpital et prend du mieux. C'est une bonne nouvelle. Tout indique qu'elle a passé les trois jours dans le champ, au même endroit, toute seule. La police recherche des témoins. D'autres accusations pourraient être portées contre la mère...»Autres sujets abordés DPJ: hausse importante du nombre de signalements; Donald Trump se donne deux semaines pour décider si les États-Unis vont attaquer l’Iran; Commission Gallant: le fonctionnaire no 1 du Québec était au courant du naufrage financier; Une vague de chaleur s'en vient au Québec.

À l'occasion de sa revue de presse, jeudi, Paul Arcand fait le point sur le cas de la fillette de 3 ans retrouvée vivante mercredi près de l’autoroute 417 à Saint-Albert, en Ontario, alors qu'elle manquait à l'appel depuis dimanche. Sa mère lui aurait dit de l'attendre à cet endroit. «Il y a tellement d'événements tristes, tragiques, qui impliquent des enfants. Pour une fois, ça se termine bien.» Autres sujets abordés Un missile iranien touche un hôpital en Israël; à Gaza, des Palestiniens meurent en allant chercher de la nourriture; Commission Gallant: l’ex-PDG de la SAAQ boit de l’eau, demande constamment si on l’entend bien et dit des choses invraisemblables; Un voleur à l’étalage dit qu’il veut devenir un pasteur à sa sortie de prison.

À l'occasion de sa revue de presse, mercredi, Paul Arcand fait le point sur la disparition de la fillette de 3 ans qui manque à l'appel depuis dimanche et vue pour la dernière fois dans l’arrondissement de LaSalle, à Montréal. Sa mère a été accusée d’abandon d’enfant. «La question qui fait mal : est-ce que l'enfant est toujours vivante? Plus le temps passe, plus les espoirs disparaissent.» Autres sujets abordés Un cinquième féminicide en cinq semaines; Donald Trump demande à l’Iran de capituler; SAAQclic: un PDG qui fait la baboune et un terrain de jeux pour Karl Malenfant; Les Panthers de la Floride remportent la Coupe Stanley.

À l'occasion de sa revue de presse, mardi matin, Paul Arcand aborde la disparition d'une fillette de trois ans qui manque à l'appel depuis dimanche, dans le secteur de LaSalle. Il explique que la disparition de l'enfant plonge tout le monde dans le mystère, alors que la mère ne se souvient plus où elle l'a laissée avant de la perdre.  Aucune alerte AMBER n'a été déclenchée, car rien ne porte à croire que l'enfant a été enlevée, bien que ce soit difficile de ne pas penser au pire. «Si elle n'a pas été enlevée, on présume qu'elle était avec sa mère toute la journée. Sa mère dit l'avoir perdue. Mais comment elle l'a perdue? [...] C'est assez difficile de ne pas penser au pire.» Paul Arcand précise aussi qu'aucune arrestation ou accusation n'est survenue pour le moment dans ce dossier nébuleux, bien que la mère ait été rencontrée par les autorités. Autres sujets traités: Sommet du G7: Donald Trump lève les feutres et rentre à Washington en raison du conflit israélo-iranien; SAAQClic: le nouveau PDG voulait étouffer le scandale; Dernière journée de grève dans le transport en commun à Montréal, du moins pour l’instant.

À l'occasion de sa revue de presse, lundi, Paul Arcand commente le début du sommet du G7 qui a lieu à Kananaskis en Alberta. Les chefs d'État parmi les plus puissants de la planète ont convergé vers les Rocheuses au cours des dernières heures. Un entretien privé entre le premier ministre du Canada Mark Carney et le président des États-Unis Donald Trump est d'ailleurs prévu lundi matin, avant même le début des discussions officielles. «La plupart des experts ne s'attendent pas à une entente entre le Canada et les États-Unis concernant les tarifs. Les deux semblent avoir établi une façon de faire, mais avec Donald Trump, tout est possible. On sait que c'est une bombe à retardement [...] et il y a tout le volet psychologique. M. Carney est un banquier, un homme froid, pas beaucoup d'émotions. Il a devant lui quelqu'un qui peut insulter, intimider l'adversaire. Il a besoin d'avoir tous les projecteurs sur lui.» Autres sujets abordés Israël et l’Iran se lancent des missiles: des morts, des blessés, pas de pause à l’horizon; Une femme a failli mourir abandonnée dans sa salle de bain d’une résidence pour personnes âgées; Des coupures en éducation qui vont faire mal.

À l'occasion de sa revue de presse, vendredi, Paul Arcand fait le point sur l'attaque d'Israël contre l’Iran visant à neutraliser son potentiel nucléaire. «Israël affirme que la menace d'une attaque était imminente, c'est pour ça qu'on a lancé cette opération. L'Iran a répondu, quelques heures plus tard, en envoyant une centaine de drones qui ont été, pour la plupart, neutralisés. Nous avons donc le potentiel d'une autre guerre régionale. [...] Les images qu'on a pu voir notamment sur les réseaux sociaux montrent des immeubles touchés. On voit les flammes, on entend les explosions, il y a des morts et des blessés...» Autres sujets abordés SAAQclic: on a caché au ministre l’ampleur des dépassements de coûts; Opération antimafia: le clan Rizzuto est ébranlé; Et c’est le week-end du Grand Prix.