Dans les années 1980, des figures gigantesques apparaissent dans les champs de culture du sud de l’Angleterre. Les plants de céréales sont couchés en lignes rayonnantes et apparaissent à la faveur de la nuit. Au début, ce ne sont que des cercles mesurant plusieurs dizaines de mètres de diamètre. Puis, au fil des mois, ces traces deviennent plus complexes. De simples cercles, ces figures deviennent des ensembles géométriques complexes. Alors que les chercheurs anglais travaillent à solutionner cette énigme, des figures apparaissent ailleurs dans le monde. Si certains y voient l’œuvre de plaisantins, d’autres y devinent l’intervention d’intelligences supérieures, voire des extraterrestres. Plusieurs soutiennent que certaines de ces figures dégageraient des énergies surnaturelles, preuve d’une origine exotique. Quarante ans après l’apparition des premiers agroglyphes ― littéralement « dessins dans les champs de culture » ―, l’origine de ces figures reste un sujet de controverse.
En janvier 1988, en Georgie (États-Unis), deux adolescentes mettent les voiles d'un centre d'aide pour jeunes aux prises avec des problèmes graves. Teresa Simmons, 15 ans, et Malissa Earnest, 17 ans, comptent se rendre en Californie. Malheureusement, leur route croise bientôt celle d'un groupe de jeunes satanistes de Douglasville (Georgie). Quelques jours plus tard, le groupe ― incluant Malissa Earnest, une nouvelle adepte ― organise et exécute un sacrifice humain. L'offrande : Teresa Simmons. Ce crime va révéler au grand jour une communauté d'adorateurs du diable et leurs rituels aussi sanglants que macabres.
Dans les contreforts de l'Himalaya, au Népal, des légendes locales réfèrent à des créatures hominidées mi-hommes mi-animales. Ces créatures sont désignées sous différents vocables locaux, mais sont sous le nom de Yéti. Il faudra attendre toutefois les années 1950, et l'arrivée sur place d'alpinistes étrangers désireux de se mesurer aux plus hauts sommets, dont l'Everest, le toit du monde, pour que les légendes locales deviennent un sujet d'intérêt international. Du jour au lendemain, le Yéti devient soudainement le «monstre à la mode». Du jour au lendemain, des aventuriers se mettent en route pour ces contrées dans l'espoir de documenter ― voire capturer ― l'une de ces créatures. Même Tintin devra s'y frotter à la recherche de son ami Tchang...
À en croire la littérature, les lieux de «grandes souffrances» seraient des terreaux fertiles aux apparitions spectrales et autres hantises. On parle ici d'hôpitaux, d'asiles psychiatriques et, bien sûr, de pénitenciers. Certains de ces lieux sont devenus des rendez-vous incontournables pour les «chasseurs de fantômes», qu'on pense a l'ancien asile de Ste-Clotilde-de-Horton, au Québec, ou à l'hôpital psychiatrique de Pennhurst, en Pennsylvanie (États-Unis). Certains de ces explorateurs de l'invisible en seraient revenus avec des photographies, des films et des enregistrements audio étranges et inexplicables. Ces lieux sont-ils réellement des «trappes à fantômes» ? Et que valent les recherches menées par les chasseurs de fantômes ? Ce qu'ils présentent comme des preuves de manifestations de l'au-delà en sont-elles réellement ?